Elu ambassadeur de la paix : EL Hadji Dramé va œuvrer pour une paix définitive en Casamance et ailleurs en Afrique

Réputé comme quelqu’un qui aimait faire de bonnes actions pour satisfaire de manière  désintéressée les besoins des autres, avec des qualités de rassembleur, Elhadji Sidya DRAME a vu ses efforts récompensés avec le titre d’Ambassadeur de la Paix, selon un communiqué parvenu à mediaspost.com. Le 19 janvier dernier, la  Fédération pour la paix universelle qui était en conclave à Dakar a choisi EL Hadji Dramé comme ambassadeur de la paix.

Avec ce titre, El hadji Sidya DRAME « aura désormais la mission de participer à la mise sur pied d’une paix ici et ailleurs et la construction d’une communauté mondiale unie. En sa qualité d’artisan de la paix, il va continuer comme à l’accoutumée d’œuvrer également pour une paix définitive en Casamance et ailleurs en Afrique ».

D’ailleurs, lors de la célébration de la 4ème édition du Gamou annuel de l’Union des oulémas mandingues  qui regroupe neuf pays de la sous-région Ouest africaine, il avait axé son intervention sur le thème : « Le culte de la paix et de l’éducation, le sacerdoce de tout musulman averti », note le communiqué. « Aux parcelles Assainies où une rue porte son nom et dans ces multiples Daaras éparpillés au Sénégal et en Gambie, il a toujours axé ses discours sur la recherche de la paix et n’a cessé d’interpeller les savants  à se consacrer davantage sur la lutte contre la faim et l’habitation au lieu de se lancer dans la fabrication d’armes à feu qui font des dégâts à travers le monde ».

Descendant de Fodé Bakary Dia Boury DRAME de la lignée des Dramé, grands érudits du saint coran et porte flambeau de l’expansion de l’islam en Sénégambie méridionale,  El Hadji Sidya DRAME est né à Ndiama-Pakao, arrondissement de Diaroumé, département de Bounkiling, Région de Sédhio. Petit fils de Fodé Lendé Dabo qui a opposé une résistance farouche à l’obstination des français à s’opposer à la diffusion pacifique de l’Islam dans le Jassin et le Boudhié (contrées de l’actuelle région de Sédhiou ). Il maîtrisa le coran dès l’âge de 15 ans et le Fikh (Jurisprudence islamique) entre autres livres à 18 ans,  aptitudes qui l’amenèrent très tôt à  prêcher les bonnes pratiques selon les préceptes de l’islam et de la Sunna dans les villages lors des Gamous ou toute autre manifestation.

Par mediaspost.com

 

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