Un célibataire engrosse l’épouse d’un émigré

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L’affaire pollue l’atmosphère à Ndamatou ! En effet, un menuisier ébéniste a engrossé une mineure mariée à un émigré.  Selon une source, le menuisier ébéniste incriminé dans ce dossier de mœurs a été traîné au commissariat de Ndamatou.
 
D’après l’économie des faits, le mis en cause F. Diack et la victime S.M.D entretenaient une relation amoureuse dans le passé. Et les deux tourtereaux avaient finalement eu un enfant hors mariage avant de mettre fin à leur union.
 
Plus tard, un émigré a pris la main de la jeune fille âgée de 15 ans. Mais le menuisier ébéniste de 21 ans n’a pas lâché prise. En effet, F. Diack a engrossé pour une deuxième fois la mineure qui venait de se marier. Mais l’affaire a ébruité quand l’émigré est retourné au bercail.
 
Soupçonnant son épouse d’avoir contracté une grossesse, le modou-modou l’a conduite au niveau d’une structure sanitaire. Après examen, les résultats seront revenus positifs. L’adolescente dira que son ex-petit ami est l’auteur des faits.
 
Suite à la plainte déposée au commissariat de Ndamatou, la machine judiciaire a été mise en branle contre le menuisier ébéniste. Dans sa déposition, la victime accuse le mis en cause de l’avoir violée.
 
« Un jour, j’étais partie au domicile de mon ex-petit ami pour visiter à notre enfant. Mais F. Diack en a profité pour abuser de moi. En effet, j’ai perdu connaissance sur place quand j’ai mangé le ‘thiackry’ qu’il m’avait remis. Et il a couché avec moi » déclare l’épouse de l’émigré.
 
Convoqué et cuisiné, le menuisier ébéniste craquera devant les enquêteurs de la police de Ndamatou. Puis, F. Diack finit par reconnaître la paternité du fœtus, non sans faire des révélations glaçantes. Le célibataire et père d’un enfant admet avoir entretenu des rapports sexuels avec cette mineure à 03 reprises dont 01 avant le mariage de S.M.D.
 
Dans ses aveux, le mis en cause s’est confondu en excuses sur procès-verbal. Ainsi, il regrettera l’avoir commis l’adultère à deux reprises avec l’épouse de l’émigré.
 
« J’ai entretenu avec elle des rapports sexuels consentis. Et je reconnais la gravité des faits parce que mon acte est formellement interdit par l’islam » lâche le jeune homme.
 
Convoqué à nouveau par les policiers de Ndamatou mercredi dernier, le menuisier ébéniste a été mis à la disposition du délégué du procureur près le tribunal d’instance de Mbacké.
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