Abrogation de l’arrêté Ousmane Ngom
Des recommandations fortes à l’endroit de la classe politique et de l’autorité ont été proposées pour la prise de toutes mesures allant dans le sens du renforcement de la décrispation de l’espace politique. Cette recommandation est relative, entre autres, à la problématique de l’article 80 du Code pénal, à l’arrêté n°007580 du 20 juillet 2011 dit « arrêté Ousmane Ngom » et à la perte des droits civils et politiques de personnalités du champ politique. D’autres accords actés par la Commission de facilitation, créée à l’effet de rapprocher les positions sur certains points d’achoppements, ont été validés par la Commission politique : l’élection des adjoints au maure, des vice-présidents de conseil départemental et des secrétaires élus. Mais aussi, principe de la création d’un organe d’Observation de la démocratie pour lequel il faut trouver une dénomination consensuelle, chargée entre autres de suivre le processus électoral, de veiller au respect de la loi sur les partis politiques, de faciliter le dialogue et la médiation politique.