DES SENEGALAIS D’ITALIE DEVIENNENT HOMOSEXUELS

Homosexuels ou pas, beaucoup de nos compatriotes sans papiers vivant en Italie, Espagne et France se prétendent « persécutés » au Sénégal pour leur orientation sexuelle.

Homosexuels ou pas, beaucoup de nos compatriotes sans papiers vivant en Italie, Espagne et France se prétendent « persécutés » au Sénégal pour leur orientation sexuelle. Pour prouver cette impitoyable vindicte populaire dont ils feraient l’objet, et dans l’espoir d’obtenir une carte de séjour ou d’asile « Lgbt », ils fournissent de faux articles de presse (faits divers) inventés, rédigés et montés de toutes pièces avec la complicité de certaines Ong des droits humains implantées dans notre pays. Ce qui pousse les candidats à l’immigration ou « modoumodou » clandestins à se faire passer pour des « goordjiguène » ? Parce que le puissant lobby international des lesbiens, gays, bisexuels et transgenres (Lgbt) leur ouvre toutes grandes les portes et de l’Europe et… de la dérive. Comme « Le Témoin » le raconte ci-dessous !

Jusque dans les années 80, certains candidats à l’émigration et autres « modou-modou » aspiraient au statut de réfugiés politiques sénégalais en prétendant avoir subi de graves « violences et exactions » en Casamance. Ces affabulations avaient pour but de gagner la confiance et la compassion des organisations de défense des droits humains afin d’obtenir des cartes de séjour européennes. Ou alors faciliter leurs demandes d’asile. Puis, après le conflit sénégalo-mauritanien, ces clandestins prétendaient être des Négro-africains persécutés en Mauritanie. Aujourd’hui, l’Europe de l’immigration clandestine est confrontée à des refugiés se disant homosexuels. Toujours est-il que la plupart des africains (Gambiens, Nigérians, Sénégalais, Nigériens, Ivoiriens, Mauritaniens) en situation irrégulière en France, en Espagne, Italie, Allemagne etc. disent avoir fui leur pays respectifs à cause de leur orientation sexuelle. En Italie, par exemple, beaucoup de nos compatriotes, homosexuels ou pas, ont intégré les réseaux de l’association internationale Lesbiens, gays, bisexuels et transgenres (Lgbt) pour obtenir des cartes de séjour au titre de l’asile « Gay ». Certains parmi eux sont allés jusqu’à inventer des « arrestations » et « condamnations » consécutives à leurs actes contre nature. Pour tenter de prouver leur impitoyable « persécution » judiciaire, ils versent dans le faux et usage de faux ! Car, prouver l’homosexualité est un fait difficile à établir. A cet effet, ces drôles demandeurs d’asile se font confectionner de faux articles de presse (faits divers) inventés, rédigés et montés de toutes pièces avec la complicité de certaines Ong des droits humains implantées dans notre pays. Un président d’une association de Sénégalais d’Italie se désole de cette arnaque préjudiciable à l’image de notre pays en ces termes : « Ce qui est plus grave, les Sénégalais utilisent d’anciens titres de journaux qui ne sortent plus au Sénégal pour en faire des articles relatant leur mésaventure sous forme de compte rendu d’audience fabriqués de toutes pièces. C’est scandaleux ! » nous révèle notre interlocuteur tout en interpellant certains rédacteurs en chef à la vigilance à propos de certains « faits-divers » ayant une coloration homosexuelle « Car les « modou-modous » homosexuels ou homosexuels autoproclamés sont prêts à débloquer beaucoup d’argent pour que leur nom soit cité dans un article de presse avec la complicité des Ong qui les aident et encouragent à obtenir des cartes de séjour Lgbt » se lamente notre compatriote d’Italie.

Un scandale de la diaspora !

Dans l’Europe des pervers, être un homosexuel persécuté dans son pays augmente les chances des migrants d’être acceptés comme réfugiés. Dans ce marché lucratif, le Sénégal est particulièrement « vendable » puisque, on le sait, nos juges sont réputés avoir la main particulièrement lourde pour les homos et les lesbiennes !. Et la plupart des gens déviants sexuellement sont socialement rejetés. Ce qui, évidemment, ne doit pas être prétexte pour verser dans le faux et l’usage de faux pour obtenir une carte de séjour en Occident. Pire, nombreux sont des sans-papiers désespérés qui deviennent homosexuels par intérêt, non pas par sentiment ou attirance. « En Espagne, on voit même certains Sénégalais qui se convertissent en christianisme, autre voie leur facilitant leur procédure de demande de droit d’asile » se scandalise un sénégalais de Barcelone tout en regrettant le fait que certaines Ong de droits de l’homme implantées dans notre pays assistent les homosexuels ou faux homosexuels dans leurs démanches d’obtention de visas Lgbt. « Cette assistance encourage les jeunes à emprunter les chemins de la déviance sexuelle dès lors que les lobbys gay vous ouvrent les portes et fenêtres de l’asile et ses avantages administratifs » s’étrangle cet honorable père de famille vivant en Espagne. Comme quoi, tous les voies et moyens sont bons pour migrer ou se faire régulariser, quitte à renier ses croyances religieuses et ses convictions sexuelles.

Le Témoin

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